Under the Dome, diffusion depuis le 24 juin 2013

Under-the-Dome-affiche - copie

Une série créée par Brian K. Vaughan, avec Mike Vogel, Rachelle LeFevre, Dean Norris, adaptée du roman de Stephen King.

Bande-annonce:

Synopsis:
Un beau jour, la vie des habitants d’une petite ville du Maine, Chester’s Mill, est bouleversée. Après une secousse qui ressemble à un tremblement de terre, les habitants se retrouvent piégés en découvrant que la ville est enfermée dans un dôme, qui les coupe du monde extérieur sans pouvoir communiquer. Le dôme n’est pas sans danger, et plusieurs morts surviennent, alors que les habitants aperçoivent l’armée américaine de l’autre côté du dôme, incapable de trouver une solution. Enfermés et livrés à eux-mêmes dans ce dôme, les habitants et ceux qui étaient de passage dans la ville se retrouvent dans une situation complexe, où seul la survie compte, peu importe le prix.

Mon avis:
Vous ne le savez peut-être pas, mais je suis une grande fan de séries, tous les jours, j’ai besoin de ma dose et cela fait des semaines que je veux vous parler de cette série de l’été 2013. Cette période estivale n’est pas l’occasion pour la présentation de nouvelles séries qui font souvent leur apparition à la rentrée vers septembre, mais la chaîne CBS a décidé de mettre en scène ce roman de Stephen King, avec en coproduction Steven Spielberg (bon, je ne peux que penser à la série Terra Nova de Spielberg, qui avait échoué lamentablement après une saison). Toutefois, cette série qui ne devait être qu’une mini-séries de 13 épisodes a déjà attiré presque 13 millions de téléspectateurs, et une deuxième saison est prévue.

Under the Dome affiche 1

Pour vous donner brièvement mon avis sur la série (jusqu’à présent, j’ai vu les 8 premiers épisodes): dès le premier épisode, j’ai accroché tout de suite. Je précise que je suis assez difficile au niveau des séries, il ne faut pas que ce soit mou, avec trop d’intrigues, trop superficiel, ou manquer de suspens. Avec Under the Dome, j’ai été assez intriguée dès les premières minutes. D’ailleurs, la série commence avec une certaine noirceur, un secret que cache le personnage qui est le héros de cette série, et dont le surnom me laisse cependant perplexe: Barbie.

Under the Dome affiche 3

Le casting n’est certes pas excellent, et si le nombre de personnages est conséquent au début, l’histoire se resserre autour de certains personnages principaux, qui se retrouvent ensemble malgré eux, à cause, ou grâce au dôme. Cette situation d’enfermement imposée  devient vite problématique, lorsque l’environnement devient soudainement hostile. La série joue principalement avec cette situation de catastrophe où tous tentent de survivre, en oubliant les règles ou les lois.

Je ne peux m’aventurer dans les comparaisons avec l’oeuvre de Stephen King, ne l’ayant jamais lue (même si la série m’a donné envie d’en découvrir davantage), mais les critiques ont un avis assez défavorable sur cette adaptation qui n’illustre pas suffisamment la représentation métaphorique du mépris de Stephen King dans son livre pour la société traditionnelle américaine et le gouvernement de Bush Jr. Mais je suis d’avis qu’il ne faut comparer le livre avec son adaptation à l’écran, qui impose des contraintes différentes. Quoiqu’il en soit, la série est intrigante, avec des scènes d’action intéressantes, surtout lorsque les habitants cèdent à la panique, s’opposant à d’autres qui ne pensent qu’à diriger les autres, afin de profiter de la situation. D’autres, au contraire, tentent de découvrir plus sur ce mystérieux dôme. SI l’intrigue principale tourne autour du dôme, au début, on a clairement l’impression que celle-ci est écartée afin de présenter la vie intime des habitants, qui vivent pour la plupart avec un secret. Mais le mystère du dôme plane toujours, et l’intrigue tient en haleine les téléspectateurs qui se posent de plus en plus de questions sur ce dôme, son origine, le lien entretenu avec les habitants, car en effet, le dôme si il suscite de nombreuses questions et provoque des problèmes, les rapproche comme un élément qui veut unir, et les tester. J’ai bien évidemment hâte de voir la suite, mais j’ai quand même peur que les réponses restent floues – un peu comme dans Lost. Une bonne nouvelle pour finir, M6 a décidé de diffuser la série, donc vous devriez bientôt découvrir la vie des habitants de Chester’s Mill.

Under the Dome affiche 2

Avez-vous déjà entendu parler de cette série? Qu’en pensez-vous?

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Cinéma / musique, Loisirs | 12 commentaires

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12 commentaires pour “[Critique série] Under the Dome, la nouvelle série adaptée du roman de Stephen King

    1. Aicha

      Je ne connais pas du tout les deux mentionnés. Quant à Revenge, j’ai regardé quelques épisodes de la première saison sur Canal+, et j’ai décroché.

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  1. Anya / EclectiK Girl

    J’en entend parler par des amies qui suivent cette série.
    Et ta critique me conforte dans mon idée : me procurer le livre avant de regarder la série.
    Car je préfère que mon imaginaire soit guidé par l’écriture de S.King, quitte ensuite à être déçue par une adaptation ciné/série,

    le contraire me contrarierait ( voir le film – comparer avec le livre et en être déçue).

    Toi qui a l’air d’être à fond sur les séries, tu connais Révolution ?
    J’en suis à l’épisode 12 et j’accroche bien ^^

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    1. Aicha

      C’est sur, après avoir lu le livre, tu seras déçue par la série, c’est ce que disent tous ceux qui l’ont lu. Mais Stephen King s’en défend, car aucun intérêt pour que les deux se ressemblent! Je connais Révolution, j’ai regardé un épisode uniquement, je n’ai pas accroché, je ne sais pas, je n’ai pas trouvé le truc qui attise ma curiosité. Mais ça s’améliore peut-être après le premier épisode?

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  2. Anya / EclectiK Girl

    c’est comme Dead Zone, de S.King également.
    La série s’éloigne pas mal du roman, mais j’ai autant aimé l’un que l’autre.

    Revolution, j’ai bien accroché. Bon, j’avoue que là, 15eme ep /20, ça traine un peu en longueur. Et je trouve que l’héroine est un peu too much, pas très réaliste niveau de son caractère. Mais l’intrigue me plait bien (le pourquoi du comment du black out)

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